coca-cola [ kɔkakɔla ] n. m. inv. ♦ Boisson gazéifiée à base de coca (2o) et de noix de cola. — Un coca-cola : une bouteille, une canette, un verre de cette boisson. — Abrév. fam. COCA . Un whisky coca.
● Coca-Cola nom masculin invariable (nom déposé) Boisson gazeuse fabriquée par Coca-Cola Company.
⇒COCA-COLA, subst. masc.
Boisson gazeuse à base d'extraits de feuilles de coca (sans cocaïne) et de noix de cola, originaire des États-Unis. Bouteille de coca-cola (S. DE BEAUVOIR, Les Mandarins, 1954, p. 313; cf. également chianti ex.).
Rem. 1. Lors de l'emprunt, il y avait hésitation, peut-être d'apr. coca, sur le genre de ce subst. (cf. COCTEAU, Maalesh, 1949, p. 134 : Pauvre Égypte! (...) son eau rare, sa coca-cola). 2. En fr. le terme est souvent abrégé sous la forme coca alors que l'abrév. angl. est coke, celle-ci étant attestée ds la litt. canadienne (cf. G. ROY, Bonheur d'occasion, 1945, p. 179 : appuyé au comptoir, il déboutonna son pardessus et demanda un « coke »).
Prononc. et Orth. :[
]. Invariable. Étymol. et Hist. 1942 affiches de coca-cola (GREEN, Journal, p. 202). Anglo-amér. Coca-cola (Webster's, s.v. coke), nom commercial de cette boisson, composé de coca et de cola; l'origine de sa fabrication à Atlanta aux États-Unis remonte à 1886 (Lar. encyclop.).
]. Invariable. Étymol. et Hist. 1942 affiches de coca-cola (GREEN, Journal, p. 202). Anglo-amér. Coca-cola (Webster's, s.v. coke), nom commercial de cette boisson, composé de coca et de cola; l'origine de sa fabrication à Atlanta aux États-Unis remonte à 1886 (Lar. encyclop.).
coca-cola [kɔkakɔla] n. m. invar.
ÉTYM. Répandu en France v. 1945; nom de marque américain, 1886, date de son lancement à Atlanta (États-Unis); nom déposé.
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♦ Boisson gazéifiée (initialement fabriquée à base de coca) comportant des grains de cola aux vertus stimulantes. → Bulleux, cit. 1. || Une bouteille de coca-cola. || Un coca-cola : une bouteille de coca-cola. || Des coca-cola.
1 Des pasteurs, du coca-cola et des voitures… C'est toujours à ça que ça revient, la démocratie occidentale.
Boris Vian, l'Équarrissage pour tous, in Théâtre, p. 321.
2 Brogan ne tenait pas en place; il allait chercher au comptoir une bouteille de coca-cola, il glissait un nickel puis un autre dans la boîte à disques…
S. de Beauvoir, les Mandarins, p. 313 (1954).
♦ Abrév. (1966). || Coca, n. m. || Du coca. || Une bouteille de coca. — Un coca : un verre de coca-cola. || Un coca rondelle, servi avec une rondelle de citron.
3 On se réunit
Avec les amis
Tous les mercredis
Pour faire des snobisme-parties
Il y a du coca
On déteste ça (…)
Boris Vian, Je suis snob, in Textes et Chansons, p. 28-29.
♦ Altération plaisante : caco-calo (R. Queneau, Zazie dans le métro).
REM. On rencontre aussi l'abréviation américaine coke, n. m. (1909 aux États-Unis), qui tend à se répandre, notamment au Canada. || « Des jeunes de tous âges, et même des moins jeunes, dialoguaient avec des machines en sirotant des “cokes” » (le Nouvel Obs., no 995, 2 déc. 1983, p. 95).
Encyclopédie Universelle. 2012.