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kalanchoé

kalanchoé [ kalɑ̃kɔe ] n. m.
• 1763; mot d'o. chin.
Plante exotique ornementale (crassulacées), charnue, aux fleurs disposées en cymes.

kalanchoe nom masculin Plante (crassulacée) charnue aux fleurs jaunes ou pourpres disposées en cymes, ornementale.

⇒KALANCHOE, (KALANCHOE, KALANCHOÉ)subst. masc.
BOT. Plante exotique (Crassulacées), à fleurs tubuleuses, blanches, jaunes, mauves, disposées en grappes terminales et dont plusieurs variétés sont utilisées pour leur propriétés ornementales ou médicinales. Kalanchoé penné (à fleurs verdâtres et pourpres). C'est une des trente-six espèces connues de « kalanchoé(s) », crassulacées, toutes tropicales. Elle a cette particularité de se reproduire (...) par rejetons, lesquels naissent au bord des feuilles, puis s'émancipent et sitôt tombés à terre s'enracinent. (...) (Kalanchoé daigremontiana) (GIDE, Journal, 1942, p. 150). En provenance de l'Afrique australe et de Madagascar, ainsi que d'Asie tropicale, une certaine sorte de crassulacée a reçu comme nom générique (Kalanchoe) le nom chinois d'une des espèces (L. GUYOT, P. GIBASSIER, Les Noms des fleurs, Paris, P.U.F., 1968, p. 116).
Prononc. : []. Étymol. et Hist. 1763 (ADANSON, Familles des plantes, t. 2, p. 247). Mot chinois, d'apr. Adanson (loc. cit.); déjà attesté en 1700 par G. J. Camellus [Kamel, v. aussi camelia], missionnaire aux Îles Philippines (cf. loc. cit., s.v. kalanchoe, t. 2, p. 530).

kalanchoé [kalɑ̃kɔe] n. m.
ÉTYM. 1763; mot chinois, par le latin scientifique (1700).
Bot. Plante originaire d'Asie, d'Afrique australe et de Madagascar (Crassulacées), à fleurs tubulaires disposées en grappes, cultivée comme ornementale et pour ses propriétés médicinales. || Kalanchoé penné.
0 Heureux d'avoir enfin appris, hier, le nom de la curieuse plante dont j'élève ici, dans sept pots, grande quantité de rejetons. C'est une des trente-six espèces connues de « Kalanchoé(s) », crassulacées, toutes tropicales. Elle a cette particularité de se reproduire, non seulement par graines (sans doute), mais aussi bien, ou mieux, par rejetons, lesquels naissent au bord des feuilles, puis s'émancipent et sitôt tombés à terre s'enracinent. C'est cette bizarrerie qui m'avait requis et que j'avais observée au cours de l'été dernier. (Kalanchoé Daigremontiana).
Gide, Journal (1939-1945), Pl., p. 150.

Encyclopédie Universelle. 2012.