pin-pon [ pɛ̃pɔ̃ ] interj.
• 1967; onomat., avec infl. de pompier
♦ Onomatopée qui exprime le bruit des avertisseurs à deux tons des voitures de pompiers. — Subst. inv. Des pin-pon. « quelque véhicule à croix rouge tente de se frayer un chemin à coups de pin-pon, appels de phares » (Nourissier).
⇒PIN-PON, interj.
Lang. enf. ou fam. [Souvent répété, exprime le bruit des avertisseurs à deux tons des voitures de pompiers dans leurs déplacements d'intervention d'urgence] Un numéro de téléphone: 18... Pin-Pon, Pin-Pon... Des voitures rouges... Des hommes casqués, en veste de cuir noir (Nancy-Magazine, juill. 1983, p.4, col.1).
REM. Pimpons, subst. masc. plur., lang. enf. ou fam. Voitures de pompiers; p. méton., pompiers. Les pimpons arrivent. Et les gens sortent avec eux dans la nuit (DEMOUZON, Bungalow, 1981, p.41).
Prononc.: []. Étymol. et Hist. 1967 (Pt ROB.). Onomat., avec infl. de pompier.
pin-pon [pɛ̃pɔ̃] interj.
ÉTYM. XXe; onomat., avec infl. de pompier.
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♦ Onomatopée exprimant le bruit des avertisseurs à deux tons des voitures de pompiers (souvent répété). || Pin-pon, pin-pon !
Encyclopédie Universelle. 2012.