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• 1835; wallon rechairgement « autorisation » (XV^e); de recharger

♢ Techn. Rechargement d'une route (⇒ recharger, 3^o) .

n. m. Action de recharger.

⇒RECHARGEMENT, subst. masc.

Action de recharger.

A. — [Corresp. à recharger A] Une hâte belliqueuse semblait les posséder de procéder sans cesse au déchargement et rechargement des cargos les uns après les autres. « Ça coûte si cher un cargo sur rade! » qu'ils répétaient sincèrement navrés (CÉLINE, Voyage, 1932, p. 167).

B. — [Corresp. à recharger B] Ces pauses sont indispensables pour éviter le passage des oiseaux en nombre trop compact (bouquet) et permettre le rechargement des fusils (VIDRON, Chasse, 1945, p. 28). Pour ce genre de moteurs, le lancement qui a lieu à l'air comprimé s'effectue sous une pression de 10 kilos environ. Le rechargement de la bouteille est généralement effectué par le cylindre lui-même (AMBROISE, Monteur mécan., 1949, p. 90).

C. — [Corresp. à recharger B 4] Ce réseau [des routes nationales] est à peu près terminé: il ne s'agit guère plus que de l'entretenir, c'est-à-dire de veiller au rechargement périodique des chaussées de façon à réparer l'usure (CHARDON, Trav. publ., 1904, p. 125). Comme l'usure se produit presque toujours sur l'arbre lui-même (...), il faut envisager (...) le rechargement de la portée de l'arbre par soudure ou avec un support de métal (AMBROISE, Monteur mécan., 1949, p. 36).

Prononc. et Orth.:[]. Att. ds Ac. dep. 1835. Étymol. et Hist. 1467 requierquement (Compte des fortifications, 18^e Somme des mises, A. Tournai ds GDF. Compl.) — 1572, ibid.; à nouv. au XIX^e s. (Ac. 1835). Dér. de recharger; suff. -ment¹.

rechargement [ʀ(ə)ʃaʀʒəmɑ̃] n. m.

ÉTYM. 1835; requierement, XV^e; wallon rechairgement « autorisation », XV^e; de recharger.

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♦ Action de recharger. — Dr. Action de recharger une marchandise déchargée, à la suite d'une erreur de destination…

♦ Techn. || Rechargement d'une route (⇒ Recharger, I., 3.).