⇒JUGLANDACÉES, subst. fém. plur.
BOT. Famille de plantes dicotylédones groupant des arbres généralement de haute taille, à fleurs monoïques, solitaires ou en chatons, et dont le noyer est le type. La famille des Juglandacées, Amentifères aux feuilles composées — imparipennées et dont le fruit est une drupe (Bot., 1960, p. 1102 [Encyclop. de la Pléiade]). Flore fruitière métropolitaine : (...) juglandacées (noyer) (BOULAY, Arboric. et prod. fruit., 1961, p. 41).
Prononc. et Orth. : [
]. Lar. 19e, LITTRÉ : -dées; Lar. 20e, Lar. encyclop. : -dacées; Nouv. Lar. ill., ROB., Lar. Lang. fr. : -dacées ou -dées. Étymol. et Hist. 1816 juglandées (A. P. DE CANDOLLE, Essai sur les propriétés médicales des plantes, 124 ds QUEM. DDL t. 12); 1902 juglandacées ou juglandées (Nouv. Lar. ill.). Dér. du lat. juglans (arbor), juglandis (arboris) « noyer » avec suff. -ées(-é)/-acées. Bbg. QUEM. DDL t. 4, 9 (s.v. juglandées).
]. Lar. 19e, LITTRÉ : -dées; Lar. 20e, Lar. encyclop. : -dacées; Nouv. Lar. ill., ROB., Lar. Lang. fr. : -dacées ou -dées. Étymol. et Hist. 1816 juglandées (A. P. DE CANDOLLE, Essai sur les propriétés médicales des plantes, 124 ds QUEM. DDL t. 12); 1902 juglandacées ou juglandées (Nouv. Lar. ill.). Dér. du lat. juglans (arbor), juglandis (arboris) « noyer » avec suff. -ées(-é)/-acées. Bbg. QUEM. DDL t. 4, 9 (s.v. juglandées).
ÉTYM. 1902, juglandacées, Larousse; juglandées, 1817, in D. D. L.; lat. bot. juglandeæ, 1816, Candolle; du lat. juglans, -andis « noyer », et -acée, -ée.
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♦ Bot. Famille de plantes phanérogames angiospermes, classe des Dicotylédones apétales, comprenant des arbres de grande taille à bois dur, souvent résineux (ordre des Juglandales). || Types principaux de juglandées : juglans ou noyer, pacanier, hickory. — Au sing. || Une juglandacée, une juglandée.
Encyclopédie Universelle. 2012.