bruitage [ brɥitaʒ ] n. m.
• 1946; de bruiter
♦ Reconstitution artificielle des bruits naturels qui doivent accompagner l'action (au théâtre, au cinéma, à la radio, à la télévision).
● bruitage nom masculin (de bruiter) Reconstitution artificielle, pour la radio, la télévision, le théâtre, le cinéma, des bruits qui accompagnent l'action.
bruitage
n. m. Reconstitution des bruits qui doivent accompagner une scène (théâtre, cinéma, radio, télévision); les bruits ainsi créés (bruits de pas, de tonnerre, etc.).
⇒BRUITAGE, subst. masc.
TECHN. AUDIO-VISUELLES, THÉÂTRE
A.— Action de bruiter. Service du bruitage de la Radiodiffusion française (P. SCHAEFFER, À la recherche d'une mus. concr., 1952, p. 12) :
• Il [le ministre] me montrait mes erreurs, critiquait le bruitage, les textes de présentation.
P. VIALAR, La Mort est un commencement, La Carambouille, 1949, p. 281.
B.— Souvent au plur. Résultat de cette action. Exploiter certains procédés techniques de mise en ondes et de prise de son (bruitages, fonds musicaux, réverbération, écho, etc.) (M. WEINAND, Qq. aspects de la public. radiophonique, 1964, p. 26).
1re attest. 1948 [édité en 1952] (P. SCHAEFFER, loc. cit.); dér. de bruiter, suff. -age. — []. — Fréq. abs. littér. : 7.
bruitage [bʀɥitaʒ] n. m.
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♦ Reconstitution artificielle des bruits naturels qui doivent accompagner l'action (au théâtre, au cinéma, à la radio). || Service de bruitage de la radio. || Un bruitage réussi.
Encyclopédie Universelle. 2012.