claquer [ klake ] v. <conjug. : 1>
• 1508; onomat. → clac
I ♦ V. intr.
1 ♦ Produire un bruit sec et sonore. Faire claquer ses doigts, sa langue. Claquer des dents (de froid, de peur); fig. avoir froid, peur. ⇒ grelotter, trembler. Militaire qui claque des talons. Un drapeau qui claque au vent. Une porte, un volet qui claque. ⇒ battre. Bruit d'une porte qui claque. — Loc. fam. Claquer du bec : avoir faim, soif.
2 ♦ Fam. Se casser, éclater. Un joint qui claque. Fig. et fam. L'affaire lui a claqué dans les doigts. ⇒ péter. — (1842) Fam. Mourir. Nous aussi, « nous claquerons, même pas à notre tour, car il n'y a pas d'ordre, de numéro d'apparition » (H. Thomas). ⇒ crever.
II ♦ V. tr.
1 ♦ (1648) Donner une claque à (qqn). Arrête, ou je te claque ! ⇒ gifler.
♢ Faire claquer. Il a claqué la porte. Fig. Claquer la porte au nez de qqn : refuser de voir, de recevoir qqn. Partir en claquant la porte, pour manifester sa colère, une rupture.
♢ (1861) Arg. Fam. ⇒ dépenser, gaspiller. Claquer un héritage. Claquer son fric. — Absolt « Je claque aussi beaucoup en boîte et en vacances » (Le Nouvel Observateur, 1993).
♢ (1892) Fam. ⇒ éreinter, fatiguer. Claquer un cheval. Cette promenade nous a claqués. Pronom. Il se claque pour préparer son examen. — P. p. adj. Épuisé, très fatigué. Il a l'air claqué. ⇒ crevé, 2. nase. Nous étions « claqués d'énervement et de fatigue » (A. Gide).
2 ♦ (1902) Fam. Se claquer un muscle. ⇒ déchirer, froisser; claquage.
● claquer verbe intransitif (onomatopée klakk-) Produire un bruit sec et sonore : Les portières claquent, ils arrivent. Familier. Se casser, éclater : La lampe a claqué. Populaire. Mourir. En parlant d'un isolant, subir un claquage. ● claquer (expressions) verbe intransitif (onomatopée klakk-) Familier. Claquer du bec, avoir faim. Claquer des dents, avoir très peur, très froid, une forte fièvre. Claquer des mains, applaudir. Familier. Claquer dans les mains, dans les doigts de quelqu'un, en parlant d'une affaire, échouer subitement, ne pas aboutir ou échapper à quelqu'un. ● claquer (homonymes) verbe intransitif (onomatopée klakk-) claque claque nom masculin clac ! interjection claque nom féminin claquent clac ! interjection claque nom féminin claque nom masculin claques clac ! interjection claque nom féminin claque nom masculin ● claquer verbe transitif Donner une ou plusieurs claques à quelqu'un, le frapper du plat de la main, le gifler : Claquer un enfant. Fermer violemment et avec bruit quelque chose : Claquer une porte. Familier. Fatiguer à l'excès, éreinter, épuiser : Cette marche de plusieurs heures m'a claqué. Familier. Dissiper, dépenser de l'argent : Claquer tout son argent au tiercé. Assembler au moyen de piqûres la claque et les quartiers d'une tige. ● claquer (expressions) verbe transitif Claquer la langue, produire un bruit sec en la détachant du palais. Claquer la porte, partir brusquement, irrité ou mécontent. Claquer un terrain, lors d'une injection de consolidation dans un terrain sous pression élevée, y créer des fissures dans lesquelles se propage le coulis d'injection. ● claquer (homonymes) verbe transitif claque claque nom masculin clac ! interjection claque nom féminin claquent clac ! interjection claque nom féminin claque nom masculin claques clac ! interjection claque nom féminin claque nom masculin ● claquer (synonymes) verbe transitif Donner une ou plusieurs claques à quelqu'un, le frapper du...
Synonymes :
- calotter (familier)
- talocher (familier)
Familier. Fatiguer à l'excès, éreinter, épuiser
Synonymes :
- éreinter (familier)
- esquinter (familier)
- vanner (familier)
- vider
Familier. Dissiper, dépenser de l'argent
Synonymes :
- croquer
- manger (familier)
claquer
v.
rI./r v. intr.
d1./d Produire un bruit sec et net. Claquer des mains.
— Claquer des dents: avoir peur, avoir froid, être fiévreux, de telle manière que les dents s'entrechoquent.
d2./d Fam. éclater. Un joint a claqué.
— Fig. Fam. L'affaire lui a claqué dans les mains, a raté, échoué.
d3./d Pop. Mourir.
rII./r v. tr.
d1./d Gifler (qqn).
d2./d Faire claquer. Claquer les portes.
d3./d Fam. Dépenser. Claquer un argent fou.
d4./d Fam. Fatiguer, épuiser. Claquer un cheval.
— Pp. adj. Il est arrivé complètement claqué.
d5./d Se claquer un muscle, se le froisser par claquage.
d6./d ELECTR Produire le claquage de.
I.
⇒CLAQUER1, verbe.
I.— Emploi intrans.
A.— Produire un bruit sec et éclatant :
• 1. Un grand silence s'était fait. Puis, tout à coup, un bruit sec claqua dans l'air. Le vicomte avait giflé son adversaire.
MAUPASSANT, Contes et nouvelles, t. 2, Un Lâche, 1884, p. 915.
• 2. Avant qu'il [le père] ait ouvert la bouche, sa fille repousse déjà la barrière de bois, ses galoches claquent sur les pierres de la route...
BERNANOS, Nouvelle Histoire de Mouchette, 1937, p. 1316.
SYNT. Un fouet, une porte, un drapeau, un volet, des coups de feu claquent; claquer du doigt, de la langue; claquer brutalement, bruyamment, nerveusement.
— [Le bruit forme une série, une répétition] Claquer des mains. Des voix éraillées (de jeunes gens?) criaient ,,bis!`` et on claquait toujours des mains (MONTHERLANT, Les jeunes filles, 1936, p. 1042). Claquer des dents. Avoir froid, avoir peur (sans que les dents s'entrechoquent nécessairement). Il [saint Jean] aura quelque chose à écrire pour que le monde claque des dents jusqu'à la consommation des siècles (BLOY, Journal, 1903, p. 179).
♦ P. hyperb. Claquer de froid, de faim, de peur. En pantalon rouge, claquant de chaleur et de discipline (GIDE, Correspondance [avec Valéry], 1906, p. 409).
Rem. Claquer de peur peut être compris également comme l'ell. de claquer des dents de peur. Johel. — Comment : il claque de peur? Le Barbier. — Je veux dire : il claque des dents, de peur du roi (GIDE, Saül, 1903, III, 1, p. 311).
♦ Au fig. Claquer du bec. Avoir faim, soif. Encore un qui claquait du bec de jus (BARBUSSE, Le Feu, 1916, p. 119).
B.— P. ext. Se rompre en faisant un bruit sec :
• 3. Elle brisa furieusement six cruches, et la sueur d'angoisse coulait de son front. Les vases claquèrent et s'ouvrirent : ils étaient vides.
SCHWOB, Le Livre de Monelle, 1894, p. 87.
— Fam. Se briser, se détruire subitement. Le joint claque (R. CHAMPLY, Nouv. Encyclop. pratique, t. 10, 1927, p. 99).
♦ Au fig. Claquer dans les mains, dans les doigts. Échouer. ,,C'est l'affaire de l'institut qui vient de me claquer dans les mains`` (G. DUHAMEL, Chronique des Pasquier, La Passion de Joseph Pasquier, 1945, p. 253).
— Arg., pop. Mourir. Il n'est donc pas encore claqué, votre Lanlaire? (MIRBEAU, Le Journal d'une femme de chambre, 1900, p. 88).
Rem. On rencontre le subst. fém. claquaison attesté uniquement chez Verlaine. Litote, néologisme familier évoquant la mort. Me sauver cette fois, non certes d'une claquaison prochaine, mais d'une crise qui eût, certes, été mortelle dans la solitude (Correspondance, t. 1, 1862-95, p. 86).
II.— Emploi trans.
A.— Faire un geste, un mouvement qui provoque un bruit sec.
1. [Le compl. désigne une pers.]
a) Donner des claques, frapper du plat de la main. En rentrant, papa m'a claquée. J'ai même pleuré, c'est plutôt rare (BERNANOS, Journal d'un curé de campagne, 1936, p. 1207).
b) Vx. Applaudir un artiste, une œuvre en frappant dans ses mains. ,,Ce n'est pas le public d'Henriette Maréchal!`` tout est accepté, claqué (E. et J. DE GONCOURT, Journal, 1879, p. 7).
2. [Le compl. désigne un objet inanimé concr.] Plaquer, fermer quelque chose avec force :
• 4. — À présent, du sang-froid, se dit Lafcadio. Ne claquons pas la portière : on pourrait entendre à côté. Il tira la portière à lui, contre le vent, avec effort, puis la referma doucement.
GIDE, Les Caves du Vatican, 1914, p. 830.
— Au fig. Claquer la porte, partir en claquant la porte, claquer la porte au nez de qqn. Refuser de voir, d'écouter, de recevoir, de demeurer chez quelqu'un pour lui montrer son désaccord. Je ne demandais qu'à régler les choses à l'amiable. C'est lui qui est parti en claquant la porte (S. DE BEAUVOIR, Les Mandarins, 1954, p. 401).
Rem. Claquer la langue. Produire un bruit sec en détachant la langue du palais; la constr. trans. : en hochant la tête et en claquant la langue (BARBUSSE, Le Feu, 1916, p. 97) est beaucoup plus rare que la constr. intrans. : la belle jeune fille claque de la langue (ÉLUARD, Donner à voir, 1939, p. 13). Les puristes préfèrent, dans cette expr., l'emploi du verbe clapper (cf. claquement).
B.— Pop. Rompre en faisant du bruit.
1. SP. Se claquer un muscle, un tendon, un ligament. Se déchirer un muscle, un tendon, un ligament par un effort trop brutal. Le sportif s'est claqué un muscle.
— Absol. Se claquer. Être victime d'un claquage.
Rem. 1. Attesté dep. LITTRÉ et ds tous les dict. gén. du XXe s. exceptés Ac. 1932 et DUB. 2. Cf. également claqué, adj. plus fréq. dans cet emploi.
2. Vx. Mettre sous la dent, consommer. J'ai faim, tu sais... j'ai compté sur toi. Faut me trouver quelque chose à claquer (ZOLA, L'Assommoir, 1877, p. 763).
— P. ext. Dépenser, gaspiller. Avec des copains, je ne compte pas l'argent que je claque en une soirée (S. DE BEAUVOIR, Les Mandarins, 1954, p. 293).
C.— Emploi pronom. ou passif. Être à bout de force.
1. Se claquer. Se fatiguer à l'excès. Il ne faut pas arriver à être surentraîné, c'est-à-dire qu'il y a une limite au delà de laquelle on se claque (RENARD, Correspondance, 1883-1910, p. 310).
2. [À la voix passive] Être claqué. Je suis claqué. J'ai passé la nuit précédente dans le train, debout presque tout le temps (VAILLAND, Drôle de jeu, 1945, p. 165).
Prononc. et Orth. :[klake], (je) claque [klak]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. A. 1508 oiseaux claquans du bec (J. LE MAIRE, Œuvres, III, 20, Stecher d'apr. Delboulle ds R. Hist. litt. Fr., t. 6, p. 456). B. 1648 « donner une claque » (SCARRON, Virgile travesti ds RICHARDSON). C. 2e moitié du XVIIIe s. « applaudir (une pièce de théâtre, un auteur) » (DIDEROT, Neveu de Rameau, p. 66 ds IGLF). D. 1848 « manger voracement » (A. PIERRE, Arg. et jargon, c. 1); 1861 p. ext. « dépenser [tout son argent], perdre ses biens » (LARCH., p. 90 : il a tout claqué). E. 1859 « mourir » (L. LARCHEY, Les Excentricités de la lang. fr. en 1860, p. 456). Dér. de l'onomatopée klakk-, v. claque1. Bbg. DUCHÁ (O.). L'Interdépendance et l'interaction du contenu et de l'expr. Orbis. 1972, t. 21, p. 475. — PAULI 1921, p. 52. — SAIN. Lang. par. 1920, p. 356. — SAIN. Sources t. 3 1972 [1930], p. 174.
II.
⇒CLAQUER2, verbe trans.
CORDONN. Coudre une claque (cf. claque2) aux quartiers d'une tige de chaussure. Claquer des bottines d'étoffe (DG).
Rem. 1. Cf. l'emploi adj. de claqué, plus fréq. 2. Chauss. 1969 enregistre le subst. masc. claquage. ,,L'action de claquer (...) et l'opération correspondante.``
Prononc. :[klake], (je) claque [klak]. Étymol. et Hist. 1890 (DG). Dér. de claque2 « sandale »; dés. -er.
STAT. — Claquer1 et 2. Fréq. abs. littér. :1 440. Fréq. rel. littér. :XIXe s. : a) 532, b) 2 166; XXe s. : a) 2 748, b) 2 857.
1. claquer [klake] v.
ÉTYM. 1508; onomat. → Clac.
❖
A V. intr.
1 (Sujet n. de chose). Produire un bruit sec et assez fort. || Faire claquer ses doigts, ses lèvres, sa langue. || Un fouet qui claque. — ☑ Fig., vx. Faire claquer son fouet : faire le fier, se donner de l'importance, vouloir faire preuve d'autorité (→ Autre, cit. 49). — Un drapeau qui claque au vent. || Une porte, un volet qui claque. ⇒ Battre. || Faire claquer la porte, la fermer violemment. || Attention, ne fais pas claquer la porte ! || Le courant d'air fait claquer les portes → aussi ci-dessous, B., Claquer la porte, et fig.
1 Cyrus Smith et ses compagnons furent comme atterrés en voyant que, sous l'empire d'une terrible émotion, ses dents claquaient comme celles d'un fiévreux.
J. Verne, l'Île mystérieuse, t. II, p. 530 (1874).
1.1 Le mal dont j'ai parlé m'envahissait aussi, peu à peu. Je le sentais gronder en moi, comme de grandes eaux lointaines ! — Allons ! allons ! disons la chose ! Mes dents se mirent à claquer follement ! la sueur coula sur mes tempes.
Villiers de L'Isle-Adam, Tribulat Bonhomet, p. 62 (1887).
2 Le gourmet venait de lamper un trait de vin et reposait sa timbale. Il fit claquer sa langue (…)
G. Duhamel, Chronique des Pasquier, VII, III, p. 21.
3 (…) les balles miaulent au-dessus de la tranchée, très bas, et plusieurs claquent sur le parapet, comme des coups de fouet.
R. Dorgelès, les Croix de bois, V, p. 100.
4 Ses dents claquent, tout son corps tremble. Oh ! qu'il fait froid sous le gros édredon rouge !
Jérôme et Jean Tharaud, l'Ombre de la croix, VIII, p. 195.
♦ Par métaphore :
4.1 Le vent faisait claquer l'été sur les places comme un drapeau.
Maurice Carême, la Grange bleue, « Le retour du Moi ».
2 (Sujet n. de personne; compl. en de désignant une partie du corps). || Claquer des doigts : faire claquer ses doigts. — ☑ Claquer des dents : avoir les dents qui claquent (de froid, de peur, etc.); fig. avoir froid, peur. ⇒ Grelotter, trembler.
5 — (…) il claque de peur quand il parle au roi maintenant.
— Comment : il claque de peur ?
— Je veux dire : il claque des dents, de peur du roi.
Gide, Saül, III, 1.
♦ ☑ Loc. fam. Claquer du bec (au sens 1 de bec). || Oiseau qui claque du bec. Fig. (Au sens 2 de bec). Avoir faim, soif; être privé.
5.1 (…) la fièvre me faisait claquer du bec comme une cigogne au bord d'un marécage (…)
Th. Gautier, le Capitaine Fracasse, p. 109.
3 (Sujet n. de chose). Fam. Se casser, se rompre; éclater. ⇒ Péter (fam.). || Un verre, un joint qui claque.
♦ Fig., fam. Échouer. ☑ L'affaire lui a claqué dans les mains, les doigts. ⇒ Péter.
5.2 J'ai fait tout ce que j'ai pu, j'ai tenté l'impossible. Tout m'a claqué dans les mains… Je ne vous demande que quinze jours.
René Floriot, La vérité tient à un fil, p. 29.
4 (1842). Fam. (Sujet n. de personne ou d'être animé). Mourir. ⇒ Crever. || Il a claqué, il vient de claquer (→ ci-dessous, B., 5.).
6 (…) je refusais la direction de l'infirmerie, convaincu que ces pauvres bougres allaient claquer dans leur cave si on ne les évacuait pas sur-le-champ.
Martin du Gard, les Thibault, t. IX, p. 244.
B V. tr.
1 (1648). Compl. n. de personne. Donner une claque à (qqn); frapper (qqn) d'une claque. ⇒ Gifler. || Arrête, ou je te claque !
2 (Compl. n. de chose). Faire claquer, mouvoir avec violence de manière à produire un claquement. || Claquer une porte. ☑ Fig. Claquer la porte au nez de qqn : refuser de voir, de recevoir qqn. || Il n'a rien voulu écouter et est parti en claquant la porte. — Claquer la langue, produire un bruit sec en la détachant du palais.
6.1 Comme il y avait du courant d'air, j'ai dû laisser l'impression que j'avais claqué la porte extrêmement fort.
G. Duhamel, Chronique des Pasquier, VIII, XIII, p. 429.
3 (1732, in D. D. L.). Vx. || Claquer un acteur, un spectacle, l'applaudir en battant des mains. ⇒ 1. Claque (I., 2.); claqueur.
4 (1861, argot). Fam. || Claquer de l'argent, le dépenser. ⇒ Dissiper, gaspiller, manger (fam.). || Claquer un héritage, sa fortune. || Il a claqué cinq cents francs en une soirée. || Il a tout claqué.
5 (XXe). Fam. (Compl. n. d'être animé). Fatiguer à l'excès. ⇒ Éreinter, fatiguer. || Claquer un cheval. — Pron. || Il se claque pour préparer son examen. — (Sujet n. de chose). || Cette excursion les a claqués. — Au p. p. || Je suis complètement claqué.
7 (…) nous étions ruinés, claqués d'énervement et de fatigue (…)
Gide, Journal, 1er janv. 1910.
6 Fam., sports. || Claquer un muscle, un tendon. || Se claquer un muscle, un tendon, le déchirer par un effort trop brutal. ⇒ Déchirer (se), froisser (se); claquage.
7 Fam., rare. Mettre (qqch.) hors d'usage. ⇒ Casser. — Au p. p. || Le mécanisme est claqué.
8 Quelle heure est-il, demanda Van, ma montre est claquée.
— Sept heures, pile.
Armand Lanoux, le Commandant Watrin, p. 15.
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DÉR. et COMP. Claquade, claquage, claquant, 1. claque, claquement, claquet, claqueter, claquette, claquoir. (Du sens B, 3) 1. Claque (I., 2.), claqueur. V. Claque-.
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2. claquer [klake] v. tr.
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♦ Techn. Garnir (une bottine) d'une claque.
Encyclopédie Universelle. 2012.