moucher [ muʃe ] v. tr. <conjug. : 1>
1 ♦ Débarrasser (le nez) de ses mucosités en pressant les narines et en expirant fortement. Mouche ton nez ! — Par ext. Moucher un enfant.
♢ Fig. Fam. Remettre (qqn) vertement à sa place, lui dire son fait. ⇒ rembarrer, réprimander (cf. Clouer le bec). Il s'est fait rudement moucher.
2 ♦ (1835) Rendre par le nez. Moucher du sang.
3 ♦ SE MOUCHER v. pron. Moucher son nez. « Le vieux musicien paraissait donner du cor, quand il se mouchait » (Balzac). — Loc. prov. Qui se sent morveux se mouche. — Iron. Ne pas se moucher du coude, du pied : se prendre pour qqn d'important.
4 ♦ (1220) Moucher une chandelle, une lampe : raccourcir la mèche. ⇒ mouchette.
● moucher verbe transitif (bas latin muccare, du latin classique muccus, écoulement nasal) Débarrasser le nez de ses mucosités en soufflant. Placer un mouchoir contre le nez de quelqu'un pour qu'il se mouche : Moucher un enfant. Rejeter quelque chose par le nez : Moucher du sang. Familier. Remettre quelqu'un à sa place, lui infliger une leçon. ● moucher (difficultés) verbe transitif (bas latin muccare, du latin classique muccus, écoulement nasal) Emploi L'emploi intransitif est vieilli, sauf dans moucher beaucoup (= avoir des sécrétions nasales abondantes, avoir le nez qui coule). Registre Moucher qqn (= remettre qqn à sa place, le reprendre vertement) est familier. ● moucher (expressions) verbe transitif (bas latin muccare, du latin classique muccus, écoulement nasal) Vieux. Moucher une chandelle, une mèche, ôter le bout du lumignon d'une chandelle, éteindre la flamme en prenant entre ses doigts la mèche. ● moucher (homonymes) verbe transitif (bas latin muccare, du latin classique muccus, écoulement nasal) mouchet nom masculin
moucher
v. tr.
d1./d Débarrasser (le nez) des mucosités qui l'encombrent en expirant fortement tout en pressant les narines. Mouche ton nez!
— Moucher un enfant.
|| v. Pron. Se moucher bruyamment.
d2./d Rejeter par le nez. Moucher du sang.
d3./d Moucher une chandelle, couper l'extrémité carbonisée de sa mèche ou l'éteindre avec ses doigts.
⇒MOUCHER, verbe
I. — Emploi trans.
A. — 1. Moucher le nez. Débarrasser le nez des mucosités qu'il contient en pratiquant une forte expiration et en s'aidant généralement d'un mouchoir. De plus, elle était [la petite fille] colère, (...) puis, elle avait l'affreuse habitude de se fourrer les doigts dans un nez qu'elle mouchait peu (VERLAINE, Œuvres posth., t.1, Hist. comme ça, 1896, p.372).
a) [P. méton.] Ce n'est pourtant pas tellement attrayant, la vie humaine, avec ces mains qu'il faut laver, ces rhumes qu'il faut moucher, ces cheveux qui vous quittent!... (GIRAUDOUX, Ondine, 1939, III, 3, p.181).
b) P. anal.
— Moucher une chandelle, une lampe. Couper le bout de la mèche consumée qui empêche la chandelle d'éclairer. Subtil [à Chantourné]: Je voudrais bien te voir allumer quarante-huit chandelles, toi, et les moucher surtout! Le jour où j'ai débuté dans l'emploi j'en ai éteint quinze (A. DUMAS père, Trois entr'actes pour Amour méd., 1850, I, p.325). C'est lui le frère excitateur, celui qui est debout, le premier, pour sonner la cloche et réveiller les autres; il frotte les escaliers, il mouche les lampes, il accomplit encore des travaux plus humbles (HUYSMANS, Oblat, t.1, 1903, p.74):
• 1. Peut-être ces rôles de portiers, de palefreniers, d'hommes du peuple sont-ils d'abord pour donner emploi à toute la troupe; et il se peut que le mot soit réglé sur les moyens et la mémoire d'un acteur d'occasion, employé principalement à moucher les chandelles.
ALAIN, Propos, 1921, p.224.
♦Au fig., fam. Remettre quelqu'un à sa place, lui dire son fait. Ce malotru, qui m'a rencontrée (...) et qui ne m'a pas saluée (...). Je vais le moucher; vous allez voir (A. FRANCE, Hist. comique, 1903, p.67):
• 2. Ce Breton [Geffroy] bretonnant avait le sens des formes et de la couleur, comme celui de la langue française. L'épais Sarcey ayant écrit que Diderot était un «pornographe», Geffroy le moucha vertement dans un article qui fit sensation.
L. DAUDET, Brév. journ., 1936, p.18.
Moucher le quinquet. Rabattre le caquet. Allons, mouche-lui le quinquet, ça l'esbrouffera (Th. GAUTIER ds LARCH. 1858, p.509).
Arg. ,,Tuer (enlever la flamme de la vie)`` (LARCH. 1880). Il eut un arrêt brusque avec une sorte de recul, comme si une balle l'eût mouché net (LA VARENDE, Nez-de-cuir, 1936, p.42). Ne bouge pas, mon petit lapin, sans quoi il va te moucher pour de bon (GIONO, Bonh. fou, 1957, p.156).
Expr. pop. et fam. Moucher la chandelle. ,,Être décidé à mourir sans postérité`` (DELVAU 1883). Dans cette brochure où il s'efforce de constater la diminution de la population du département, il exhorte, il adjure ses compatriotes de faire des enfants, de procréer, de renoncer à moucher la chandelle (GONCOURT, Journal, 1862, p.1197).
— Moucher les bourgeons. Synon. de ébouter. Voir CARRIÈRE, Encyclop. hortic., 1862, p.173.
— Moucher le chanvre, un cordage, une pièce de bois. ,,En couper les parties dégradées`` (BONN.-PARIS 1859).
— Moucher une arête. ,,Arrondir légèrement cette arête`` (HAVARD t.3 1881). On mouche les arêtes des seuils, des manches, des tableaux ou embrasures des portes et des fenêtres (HAVARD t.3 1881).
2. Moucher qqc. Émettre quelque chose par le nez. Moucher du sang:
• 3. La femme de ménage avait ordre de n'y toucher à rien, parce que, au moindre objet déplacé, et qu'il ne retrouvait pas tout de suite, M. de Coëtquidan faisait une colère. De sorte qu'il y avait tellement de poussière que le vieillard mouchait toujours du noir...
MONTHERL., Célibataires, 1934, p.866.
3. Moucher qqn
— [P. méton. de l'obj.] Mais vous me donnâtes, à l'âge où ma bonne me mouchait encore, une leçon d'honneur (A. FRANCE, Bonnard, 1881, p.28):
• 4. Mon père s'était éloigné, il détestait ce genre de discussions; dans le chemin, il me prit la main et la garda. C'était une main dure et réconfortante: elle m'avait mouchée à mon premier chagrin d'amour, elle avait tenu la mienne dans les moments de tranquillité et de bonheur parfait.
SAGAN, Bonjour tristesse, 1954, p.89.
— Emploi pronom. Faire sortir ce qui est dans le nez. À chaque instant il se mouche bruyamment et crache dans son mouchoir (RENARD, Journal, 1907, p.1105). Tu te mouches comme un bourgeois, solennellement, et tu toussotes dans ton mouchoir avec satisfaction (SARTRE, Nausée, 1938, p.86):
• 5. Sur la fin de la maladie cette matière s'épaissit, devient moins corrosive, et le malade est obligé de se moucher souvent. Tant que dure ce rhume on perd totalement l'odorat et même le goût, ou du moins on est dégoûté et sans appétit.
GEOFFROY, Méd. pratique, 1800, p.117.
♦Au fig. Il n'y a pas si longtemps que le chagrin se mouche sur nos scènes (COLETTE, Jumelle, 1938, p.56).
— Loc. et expr.
♦Pop., fam. Ne pas se moucher du pied, du coude. Avoir de grandes prétentions, se croire quelqu'un d'important. Si l'on nous voit chez nous un homme brave comme César, et qui ne se mouche pas du pied (...) Max avalerait trois voleurs, le temps de le dire (...) eh! bien, je dormirais plus tranquille (BALZAC, Rabouill., 1842, p.414). Qu'est-ce que tu nous sors, reprit Gaspard, t'es pas marteau! Une gentille tite [= petite] fille comme ça pour les Boches? Non mais, regardes-y, tu t'mouches pas du pied (BENJAMIN, Gaspard, 1915, p.50):
• 6. Moi, Madame! Quand j'aurai dit que je fête une des patronnes de Madame, si la police envoyait trente gendarmes pour déranger quelque chose, soyez sûre qu'avant d'être arrivés à la Croix rouge qui est au milieu du village, pas un d'eux ne serait à cheval. Ils ne se mouchent pas du coude, non, les habitants de Sacca.
STENDHAL, Chartreuse, 1839, p.371.
♦Populaire
Se moucher dans ses doigts. ,,Être habile, intelligent, résolu`` (LITTRÉ).
Se moucher sur sa manche. Ne pas avoir encore d'expérience. Des farces un peu bien grosses, celles du temps qu'on se mouchait sur sa manche (POURRAT, Gaspard, 1922, p.184).
Arg. Se moucher d'un louis. Les garçons de jeu se mouchent fréquemment au tapis vert, ce qui leur permet d'escamoter un ou deux louis dans leurs mouchoirs (...). On dit d'un garçon qui escamote un louis de quelque manière que ce soit: Il s'est mouché d'un louis (CAVAILLÉ ds LARCH., Dict. hist. arg., 1878, p.248).
— Proverbe. Qui se sent morveux se mouche. Que ceux qui se reconnaissent le défaut s'appliquent ce qu'on en dit. Qui se sent morveux, qu'il se mouche! (ARNOUX, Roi, 1956, p.87).
B. — Espionner. Synon. moucharder (v. ce mot ex. 2). Du temps que l'on allait en guerre Comme à la cachoucha Combien de peuples il moucha, Il moucharda naguère (TOULET, Vers inéd., 1920, p.122).
II. — Emploi intrans. Chasser de son nez les humeurs. Moucher beaucoup. Le tabac à priser fait moucher (THOMAS 1956). Hier et aujourd'hui, chaleur complète (...) et pas un souffle de vent, pas même au bord du golfe de la Seyne, cet endroit maudit qui nous a tant fait éternuer et moucher (SAND, Corresp., t.4, 1861, p.255).
— MÉD. VÉTÉR. ,,Se dit du cheval dont le jetage s'écoule par les naseaux`` (CASS.-MOIR. 1979).
Prononc. et Orth.:[], (il) mouche []. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Fin XIe s. «presser les narines pour en faire sortir les mucosités» (RASCHI, Gl., éd. A. Darmesteter et D. S. Blondheim, t.1, p.98); 1190 absol. (Renart, éd. M. Roques, 8504); 2. 1380 «ôter le bout de lumignon d'une chandelle» (ROQUES t.2, Paris, B.N. Lat. 13032, 3419); 3. fig. 1464 «remettre à sa place» (La Farce de Maistre Pathelin, éd. R. T. Holbrook, 1001: Comment il a esté mouché! — N'ay-je pas bien fait mon devoir); 1839 se faire moucher (STENDHAL, Chartreuse, p.37); 4. 1752 moucher un cordage (LITTRÉ). Du lat. tardif muccare (VIe s., trad. lat. d'Oribase d'apr. ERN.-MEILLET) dér. de muccus «morve», var. de mucus. Fréq. abs. littér.:339. Fréq. rel. littér.:XIXe s.: a) 207, b) 665; XXe s.: a) 699, b) 483.
DÉR. 1. Mouchage, subst. a) Subst. masc. Action de moucher, de se moucher. Je me souviendrai de toi... quand j'aurai des bonbons. Dans la classe de la directrice, tout en assurant le mouchage des nez et l'équilibre des bambins, parfois mobiles sur leurs bancs comme des feuilles au vent (FRAPIÉ, Maternelle, 1904, p.42). (...) Il ne peut plus se moucher de même qu'il ne peut plus uriner «car le mouchage ou l'urinage me font le même effet que la masturbation» (JANET, Obsess. et psychasth., 1903, p.72). Arg. Abstention malthusienne. Mouchage de chandelle (BRUANT 1901, p.5). b) Subst. fém. ,,Fécule de manioc exprimée`` (BESCH. 1845). — []. — 1res attest. a) 1831 «action de moucher, spécialement la chandelle. Peu usité» (Acad. Dict., Suppl. ds QUEM. DDL t.5), b) 1904 mouchage des nez (FRAPIÉ, op. cit., p.157); de moucher, suff. -age. 2. Moucherie, subst. fém. Flux de mucosités s'écoulant par les narines. Le vieil officier, fort enrhumé, allait perpétuellement dans une chambre voisine et poussait un tiroir de commode pour dissimuler sa moucherie (GONCOURT, Journal, 1863, p.311). — []. — 1re attest. 1689, 2 mai (Mme DE SÉVIGNÉ, Lettre à Mme de Grignan ds Lett. inéd., éd. Capmas, t.II, p.292 ds LITTRÉ); de moucher, suff. -ie. 3. Mouchure, subst. fém. a) Ce que l'on retire du nez en se mouchant. (Dict. XIXe et XXe s.). P. méton. Le fait de se moucher. Augustin disait: «Laisse! laisse!» Largilier releva et étendit sur son dos une des couvertures douces et chaudes, tombée devant la chaise-longue. — Ferme la porte à clef, entendit-il, parmi de petits sanglots, mêlés de toux et de mouchures (MALÈGUE, Augustin, t.2, 1933, p.484). b) Spéc. ) Mar. ,,Parties roides et trop dures qu'on retire du chanvre`` (LITTRÉ; dict. XIXe s.). ) Technol. ,,Morceau de bois coupé sur le bout d'une pièce`` (Littré; dict. XIXe et XXe s.). Dans l'expr. mouchure de chandelle. ,,Bout de lumignon d'une chandelle lorsqu'on l'a mouchée`` (LITTRÉ; dict. XIXe s.ibid.). — []. Ac. 1694 et 1718: -cheure; 1740-1878: -chure. — 1res attest. 1690 a) moucheure de chandelle (FUR.), b) 1800 «mucosité qu'on enlève du nez» (BOISTE); de moucher, suff. -ure.
BBG. — QUEM. DDL t.6, 19.
1. moucher [muʃe] v. tr. et pron.
ÉTYM. XIIIe; du lat. pop. muccare, dér. de muccus « morve ».
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1 Débarrasser (le nez) des mucosités qu'il contient en pressant les narines et en expirant fortement par le nez. || Mouche ton nez ! — Absolt. || Un homme mouchant, toussant, crachant (cit. 1). — Par ext. || Moucher un enfant.
1 Tu renifles, mon ancienne, dit Gavroche. Mouche ton promontoire.
Hugo, les Misérables, IV, XI, II.
2 Il oblige à penser que le nez est un organe qui renifle, et qu'il faut moucher de temps en temps avec bruit (…)
J. Romains, les Hommes de bonne volonté, t. II, I, p. 5.
♦ (1868). Fig. et fam. Remettre (qqn) vertement à sa place, lui dire son fait. ⇒ Cingler, rembarrer, réprimander. || Il s'est fait rudement moucher.
3 (…) il se mit à rire, enchanté d'avoir mouché tout de même ce gaillard, qui l'épatait si fort jadis (…)
Zola, Nana, XII.
3.1 Je dois avouer que, lorsque je suis entré dans cette chambre tout à l'heure je vous prenais encore, comme tout le monde dans ce château, pour une petite midinette en rupture de courrier du cœur. Je me suis fait moucher. C'est bien. Cela m'apprendra à regarder un peu plus attentivement les jeunes filles, dorénavant.
J. Anouilh, la Répétition, p. 109.
2 (1835). Rendre par le nez. || Moucher du sang.
3 Pron. || Se moucher : moucher son nez. ⇒ Curer (se curer le nez, fam.). → Ample, cit. 1; marmotter, cit. 3.
4 L'un de ces drôles, en attendant son tour de faire le coup de lance, se mouchait dans le coin de son turban avec une philosophie et un flegme admirables.
Th. Gautier, Voyage en Espagne, p. 271.
5 Le vieux musicien paraissait donner du cor, quand il se mouchait, tant son nez long et creux sonnait dans le foulard.
Balzac, le Cousin Pons, Pl., t. VI, p. 572.
6 Précisément à cet instant-là, le grand-père allait se moucher; il resta court, tenant son nez dans son mouchoir (…)
Hugo, les Misérables, V, V, IV.
♦ ☑ Loc. div. Qui se sent morveux (cit. 1) se mouche. — ☑ (1567 : du pié). Iron. Ne pas se moucher du coude, du pied : n'être pas un mince personnage; se prendre pour quelqu'un d'important.
7 Certes Monsieur Tartuffe, à bien prendre la chose,
N'est pas un homme, non, qui se mouche du pied (…)
Molière, Tartuffe, II, 3.
8 L'un des tours d'agilité familiers aux anciens saltimbanques consistait à se saisir le pied à deux mains et à se le passer vivement sous le nez. De là, selon Génin, la locution populaire ne pas se moucher du pied, pour désigner un homme important, qui s'interdit toute excentricité.
M. Rat, Petit dict. des locutions franç., p. 112.
9 Mais depuis quelque temps un salopard nous tirait dessus en plein jour et parfois mouchait un homme. Ce tireur solitaire devait être haut perché car à Tilloboy nous tenions la crête et le type devait exécuter un tir plongeant pour arriver à bigorner l'un de nous.
B. Cendrars, la Main coupée, Œ. compl., t. X, p. 27.
5 (V. 1220). || Moucher une chandelle (cit. 3), une lampe. ⇒ Émécher; mouchette (cit.), moucheur, mouchure. (1752). Par ext. Vx. || Moucher un cordage, le rendre net en coupant ses extrémités qui s'effilochent.
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DÉR. Mouchage ou mouchement, 1. moucheron, mouchette, 1. moucheur, mouchoir, mouchure.
COMP. Remoucher.
HOM. 2. Moucher. — V. Mouche, moucheron, mouchet.
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2. moucher [muʃe] v. intr.
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0 (…) de temps en temps un poisson sautait avec un plouf, je ne réussis pas à en avoir un, seulement les cercles concentriques allant s'élargissant autour de l'endroit où il avait mouché (…)
Claude Simon, la Route des Flandres, p. 139.
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HOM. 1. Moucher. — V. Mouche, moucheron, mouchet.
Encyclopédie Universelle. 2012.